Investir dans l’immobilier nécessite que vous achetiez des biens à mettre en location ou à revendre ultérieurement lorsque ceux-ci prendront de la valeur. C’est le cas des appartements, immeubles, etc. Cependant, lorsque vous voudrez vendre ces biens, vous devez sans aucun doute régler une plus-value. De quoi s’agit-il concrètement et comment calculer la plus-value immobilière ? Ces interrogations trouveront d’amples réponses dans cet article.
Qu’est-ce qu’une plus-value immobilière ?
Comme expliqué dans cet article, la notion de plus-value immobilière se rapporte au gain que l’on réalise entre l’achat et la vente de tous biens immobiliers. Littéralement, sa valeur est égale au prix de vente soustrait du prix d’achat. S’il est connu du grand public comme étant le bénéfice ou la marge, l’administration fiscale a préféré la baptiser ‘’ plus-value immobilière’’
Par ailleurs, tous les biens ne sont pas soumis à la plus-value immobilière. De ce fait, il urge de prendre connaissance, des biens qui sont concernés. Gardez à l’esprit que seules les opérations de vente d’un terrain ou d’un logement, de partage ou d’échange de bien, de vente des droits liés à un bien… sont soumis à une plus-value immobilière.
Comment calculer la plus-value immobilière ?
La détermination de la valeur de la plus-value est une opération qui vous permet sans aucun doute de prendre connaissance du montant de l’impôt à verser. Pour y arriver, vous devez impérativement calculer la valeur de la plus-value brute. Cette dernière n’est rien d’autre que la différence entre la valeur de cession du bien immobilier et celle de son acquisition.
Sachez que la valeur ou prix de cession du bien immobilier représente le montant mentionné sur l’acte notarial, auquel s’ajoutent quelques indemnités et charges payées par l’acheteur. Quant au prix d’acquissions, il comprend non seulement le prix d’achat, mais également : les charges payées lors de l’achat, les dépenses des travaux qui sont estimés à 15 % si le bien vous appartient depuis plus de 5 ans, etc. Retenez qu’après ces calculs, vous devez appliquer le taux forfaitaire de l’impôt (19 %) ainsi que les prélèvements sociaux qui sont de 17,2%.